Le lieutenant-colonel Martin Amouzoun Codjo, porte-parole militaire de la Monusco, a annoncé mercredi 10 février 2016 à Kinshasa que « 12 éléments du groupe Maï-Maï Nyatura se sont rendus aux troupes onusiennes et congolaises basées à Minova (150 Km au nord de Bukavu) et à Lumbishi, dans le territoire de Kalehe ».
« Dans la province du Nord-Kivu, 10 éléments en provenance des groupes armés, se sont rendus aux troupes de la Force onusienne déployées dans la province.
Sécurité
Les casques bleus de la Monusco sont prêts à assurer la protection des civils pour faire face aux conflits interethniques qui opposent depuis plusieurs jours les communautés Nande et Hutu au Sud de Lubero (Nord-Kivu), a assuré mercredi 10 février le représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations unies en RDC, David Gressly.
« Cette situation va demander une approche multidimensionnelle d’abord avec la politique, parce que ce n’est pas seulement une question d’actions militaires.
Ce principal commandant de la LRA connu sous le nom de » Sam » a été appréhendé
par une faction de la Seleka et remis aux forces américaines
Un des chefs de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA), Okot Odek, bien connu sous le nom de » Sam « , a été capturé le lundi dernier en Centrafrique par une des faction de la Seleka .
Les rebelles l’ont remis aux forces américaines, déployées dans la région depuis quelques années pour neutraliser les hommes de Joseph Kony, aux cotéx des armées de la RDC, de la RCA, de l’Ougand
21 morts, 40 blessés, 3 femmes violées et 70 maisons brûlées dans les territoires de Lubero et Walikale, tel est le bilan enregistré au cours du week-end passé, outre des déplacements massifs des civils, enlèvements et des cas de pillages.
Le Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) est alarmé par des informations faisant état d’une escalade des violences intercommunautaires dans les territoires de Lubero et Walikale (province du Nord-Kivu), dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Ces violences ont causé au moins 21 morts, 40 blessés et 70 mai
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) s'est déclaré lundi 8 février 2016 alarmé par des informations faisant état d'une escalade des violences intercommunautaires dans les territoires de Lubero et Walikale (province du Nord-Kivu), dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).
Ces violences auraient fait au moins 21 morts et 40 blessés et 70 maisons auraient été incendiées au cours du week-end passé.
« Nous avons aussi reçu des rapports sur des déplacements massifs de civils, des pillages, des enlèvements et au moins trois viols
Les magistrats de l'auditorat militaire de garnison de Beni-Butembo ont auditionné lundi 8 février le commandant du 312e bataillon de l’armée basé à Eringeti, colonel Joseph Tipi Ziro Ziro.
Il a été entendu au sujet du massacre perpétré dans cette localité du Nord-Kivu en novembre 2015 par des présumés ADF.
Cinq cas de vols armés ont été enregistrés en une semaine, a indiqué mardi 9 février, le maire de Bunia en Ituri, Ferdinand Fimbo.
Le maire de Bunia attribue ce regain d’insécurité aux bandits armés récemment libérés de la prison centrale de cette ville. Il promet avoir pris des dispositions pour démanteler le réseau de ces bandits armés.
Ces personnes armées ont fait incursion, la nuit dernière, au domicile d’un particulier, situé au quartier Lumumba.
Trois personnes ont été tuées dimanche 7 février par des hommes armés pendant qu’elles suivaient le match de la finale RDC-Mali à Burungu dans le secteur de Kitshanga à Masisi (Nord-Kivu). D’après des sources locales qui ont livré l’information, ces hommes armés non autrement identifiés, habillés en tenue des Forces armées de la RDC, se sont introduits dans un club de ciné où ils ont tiré sur les téléspectateurs qui suivaient le match. Parmi les trois victimes figure le commandant du sous-commissariat de Burungu.
Plusieurs autres blessés graves ont également été signalés après cette attaque.
Le porte-parole des opérations Sokola 1, le lieutenant Mak Hazukay, a annoncé lundi 8 février, le déploiement des renforts des militaires FARDC dans plusieurs localités du sud de territoire de Lubero (Nord-Kivu), pour la neutralisation de toutes les personnes qui détiennent les armes blanches et de guerre.
Selon lui, cette décision du commandement du secteur opérationnel grand nord et des opérations Sokola 1, vise à dissuader les tueries, massacres et incursions des groupes armés dans la localité de Miriki et ses environs.
«La situation sécuritaire à Miriki et ses environs est volatile.
C’est par une demande insistante auprès du chef de l’Etat que le nouveau représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC a obtenu la reprise de la coopération militaire entre les FARDC et les casques bleus. Un résultat à prendre à sa juste valeur quand on sait que dans les marécages politiques congolais, les bonnes nouvelles sont rares. Pourvu que ça dure.
« La meilleure façon de s’assurer qu’on parle le même langage, c’est de planifier ensemble.