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Claude Le Roy (63 ans) s'est qualifié avec le Congo pour sa huitième Coupe d'Afrique, un record, et juge en connaisseur du continent que "les Africains n'ont besoin de personne", surtout pas de "donneurs de leçon". Q: Vous vous apprêtez à disputer votre huitième CAN, en êtes-vous fier? R: "Oui, c'est une fierté, peut-être encore plus cette fois-ci, car pour beaucoup de spécialistes il était inconcevable que le Congo se qualifie dans un groupe avec l'Afrique du Sud, le Nigeria et le Soudan, surtout après 15 ans d'absence.

Le Cap-Vert a bien entamé sa préparation en vue de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations. En match amical de préparation jouée contre le Congo samedi, les Requins bleus l’ont emporté 3-2. Alors qu’il était mené à la pause grâce à deux buts de Bifouma (15ème minute) et Oniangue (30ème), le Cap-Vert a réagi au retour de la mi-temps en réduisant d’abord le score après un but contre son camp de Francis N’Ganga, puis en égalisant grâce à Cuca (57ème). Djaniny va finalement permettre aux Requins bleus de l’emporter en marquant le troisième but cap-verdien à la 70ème minute.

Le Burkina Faso, finaliste surprise de la dernière édition, et Claude Le Roy, sélectionneur du Congo pour sa 8e Coupe d'Afrique des nations (record), se retrouvent dans le groupe A de la CAN-2015 avec la Guinée Equatoriale, pays-hôte, et le Gabon d'Aubameyang. Le Burkina confirmera-t-il?

Dès la 6ème minute, Musa Ndusha ouvre la marque en reprenant un ballon venant d’un coup de coin. Les défenseurs de JSK sont pratiquement restés pantois sur cette action laissant leur gardien Vandiya Mboma à la merci de Musa.

Ce lundi 12 et mardi 12 janvier, l’équipe nationale des Léopards livrent deux matches amicaux contre deux sélections, nationale d’abord des « Locaux » camerounais et, régionale ensuite, de la partie Centre du pays.

Le clou de la soirée a été le prix gagné par l’Ivoirien Yaya Touré. Pour la quatrième fois consécutive de sa carrière, l’« Eléphant » de la Côte d’Ivoire s’est vu décerner par la CAF le prix de joueur de l’année en Afrique. Il égale donc le record détenu par Samuel Eto’o. Le milieu de Manchester City a, en revanche, remporté ses quatre titres d’affilée, ce qui constitue une première.

Tout a démarré par la rencontre qui a vu Molokaï battre Onatra 3-2. Les trois victoires de Molokai l’ont été par ippon et sont signées respectivement par Mbemba face à Siamundele, Bikonda face à Bobota et Mwanza face à Ngunza. Ebete d’Onatra a battu Ndundu et Mwanza a eu raison de Tshikaya. Ensuite, Onatra était opposé à Kauka qu’il a dominé 3-2. Les victoires d’Onatra portent la signature de Ebele qui a gagné par fusen=sans adversaire. Bobota a battu Mayanga par ippon. Et Ngunza a dominé Imongo.

Moïse Katumbi élu dirigeant de l’année Au lendemain de son élection par la Caf comme joueur de l’année évoluant en Afrique, Firmin Mubele Ndombe a promis de travailler dur pendant la Can 2015 pour faire valoir son titre. Le footballeur congolais l’a affirmé dans une interview exclusive accordée vendredi 9 janvier à Radio Okapi depuis Lagos (Nigeria), où s’est déroulée la cérémonie de Glo Caf Awards 2015. Firmin Mubele Ndombe promet de tout faire pour prouver qu’il mérite le prix qu’on lui a décerné : « Je suis très ému de remporter ce titre. Ma joie est inexplicable !

Le capitaine des Eléphants de Côte d'ivoire remporte le prestigieux trophée de meilleur footballeur africain de l'année 2014 décerné par la CAF, Confédération Africaine de Football. Il a remporté ce trophée devant l'attaquant gabonais de Borrusia Dortmund Pierre-Emerick Aubameyang et le gardien de but nigérian de Lille Vincent Enyeama. Le milieu de terrain de Manchester City et de la Côte d'Ivoire est le premier à gagner ce prix pour la quatrième fois consécutivement.

A Lubumbashi, des sympathisants de l’équipe de football Tout-Puissant Mazembe assurent subir, depuis quelques jours, des brimades de la part des membres de la garde prétorienne de «Joseph Kabila», dite “garde républicaine” (GR). Il est reproché aux “mazembistes” de porter des vareuses de l’équipe chère au gouverneur Moïse Katumbi. Au moment où ces lignes sont écrites, il est fait état d’une “traque” des partisans de Mazembe dans certaines communes lushoises.