Le comité de pilotage des élections a présenté un budget de plus de 53 millions de dollars américains pour assurer la sécurisation des élections en RDC, au cours d’une séance qui a réuni lundi 27 avril à Kinshasa des membres du gouvernement, de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), de la police ainsi le corps diplomatique.
Politique
L’opposition politique se dit inquiète de l’indisponibilité du président de la Commission électoral indépendante (Ceni), abbé Apollinaire Malumalu.
* Réagissant à la déclaration du duo Idambituo-Kamanda, Kengo les désavoue par Bongongo interposé.
Crise ouverte. Voilà qui résume la situation qui prévaut actuellement au sein de la plateforme politique dénommée " Opposition républicaine ". Deux courants s’affrontent à l’OR, l’un animé par l’autorité morale Léon Kengo wa Dondo et l’autre par le Coordonnateur Baudouin Idambituo et le modérateur Gérard Kamanda wa Kamanda.
La CIRGL est une tragi-comédie! Où les RdCongolais ont longtemps joué jouent aux niais, aux dindons d’une farce, des rackets, des extorsions notamment de nos terres et ressources nationales. Ça vaut quoi Ntumba Lwaba, ci-devant Sec Exécutif de la CIRGL. Quel bilan pour M. Hamuli, coordinateur national de la CIRGL?
Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) a formé, du 22 au 26 avril à Kinshasa, 460 mandataires électoraux qui seront bientôt délégués auprès de différents BRTC de la Ceni qui reçoivent depuis plus d’une semaine les candidatures des élections provinciales.
Ces membres du parti présidentiel ont été formés sur les bonnes manières de remplir les différentes fiches des candidatures à déposer à la commission électorale en perspectives des échéances à venir.
Ces mandataires du PPRD ont été sélectionnés dans les 26 futures provinces de la RDC.
Le secrétaire exécutif national
24 avril 1990-24 avril 2015. Cela fait 25 ans que le feu président congolais, Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendo wa Zabanga, déclenchait le processus de la démocratisation du pays en annonçant le multipartisme.
Connue pour ses mobilisations « légendaires » sous le régime de Mobutu, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) peine à réunir ses militants, ces derniers temps. Des mots d’ordre lancés par la hiérarchie prennent l’eau sans qu’ils ne soient exécutés par la masse « udépessienne ». Plusieurs observateurs attribuent cette faiblesse aux sons discordant qu’émet, depuis quelque temps, la fille aînée de l’opposition.
La police a étouffé, le vendredi 24 avril, la marche de l’UDPS prévue à Mbuji-Maji et à Kinshasa.
La rocambolesque affaire s’est déroulée il y a sept ans. Dans le cadre de sa politique de modernisation, le chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, avait recommandé la construction de 153 villages modernes sur le territoire congolais.
Depuis le début de la Troisième République, le Congo-Kinshasa est dirigé par une seule famille politique, qui se souvient soudainement vers la fin de ses deux mandats ininterrompus que la Constitution du 18 février 2006 avait prévu de démembrer le pays en 26 provinces.
Par décret du Premier ministre, six commissions viennent à peine d’être constituées, chacune composée de 18 personnes qui vont sillonner les six provinces à démembrer (Bandundu, Équateur, Katanga, Kasaï-Occidental, Kasaï- Oriental et Province orientale) pour faire leur rapport, sans débat, aux Assemblées provinciales concernée