Le vice-premier ministre de la Défense nationale et anciens combattants, Guy Kabombo Muandiamvita, a poursuivi, mercredi 8 octobre 2025, sa tournée à Muanda, dans la province du Kongo Central.
Sécurité
Au total, six rebelles, dont trois de l'AFC/M23 et trois de leurs alliés Twirwaneho ont été capturés par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à Uvira au Sud-Kivu.Ils ont été présentés à l'état-major du secteur opérationnel Sukola II au sud Sud-Kivu, mercredi 8 octobre 2025.Selon le sous-lieutenant Mbuyi Kalonji Reagan, porte-parole de l'armée au sud du Sud-Kivu, deux autres rebelles se sont rendus à l'armée loyaliste.
Vingt-neuf (29) éléments du M23 se sont rendus à l'armée congolaise alors que 3 autres ont été capturés sur les lignes de front en territoire de Walikale, dans le Nord-Kivu.Selon la section communication des FARDC, ces désormais ex-combattants ont été accueillis en fin de semaine dernière et ce mercredi 8 octobre, ils ont été évacués vers d'autres sites pour leur prise en charge.
Le vice-premier ministre de la Défense nationale et anciens combattants, maître Guy Kabombo Muadiamvita, a effectué, ce mardi 7 octobre 2025, une visite d’inspection à la base militaire de Kitona, dans la province du Kongo-Central, dans le cadre du suivi des opérations de renforcement des effectifs et du contrôle du niveau de formation de nouvelles recrues des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).
Alors que l'ampleur des massacres perpétrés par l'ADF s'est de nouveau accrue ces derniers mois et que la menace contre les civils demeure persistante, l'armée ougandaise, partenaire des FARDC dans les opérations militaires conjointes "Shujaa" en cours au Nord-Kivu et en Ituri, suggère que des structures locales de défense soient mises en place afin de permettre aux populations de se protéger contre les incursions ou encore de parer aux éventualités.Ce mardi 7 octobre, le général-major UPDF Stéphane Mugerwa a formulé la proposition auprès du gouverneur militaire du Nord-Kivu.
Les Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC) ont déjoué une nouvelle attaque des miliciens de la convention pour la révolution populaire (CRP) de Thomas Lubanga Dylo, contre ses positions à Kasenyi sur le littoral du lac Albert, en secteur de Bahema-sud dans le territoire d'Irumu (Ituri).André Kataloho Takumara, chef du secteur de Bahema-sud, qui fustige cette attaque, appelle Thomas Lubanga Dylo et sa milice à la cessation des hostilités.
L'Inspecteur Général de la Police Nationale Congolaise, le commissaire Divisionnaire principal Philémon Mushidi Yav séjourne à Beni, chef-lieu provisoire de la province du Nord-Kivu, dans l'est de la République Démocratique du Congo.Il est arrivé dans cette partie du pays dans la journée du dimanche 05 octobre 2025, conduisant une forte délégation.Répondant aux questions des journalistes à l'aéroport de Mavivi où il a été accueilli par plusieurs autorités, Philémon Mushidi Yav, a fait savoir qu'il vient à Beni pour un contrôle orienté sur les éléments de l'ordre .
Près de 40 présumés combattants du M23 parmi lesquels 23 collaborateurs de ce mouvement, qui s'étaient rendus aux Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), ont été présentés à la presse le samedi 04 octobre 2025, en ville de Beni, chef-lieu provisoire de la province du Nord-Kivu.La cérémonie a été facilitée par le secteur opérationnel Sokola 1 Grand et Front Nord. Selon son porte-parole, il s'agit des éléments qui étaient capturés puis enrôlés de force dans ce mouvement militaire dans le territoire de Rutshuru.
Un groupe d'éléments Wazalendo FFP/AP a choisi de se rendre complètement aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).Ce groupe armé, qui s'est désolidarisé de son chef Kabido après que ce dernier a fait allégation à la rébellion du M23/RDF, s'est rendu avec plusieurs combattants et leurs munitions de guerre.
Le M23 est de nouveau accusé d'être responsable de plusieurs exactions dans le Nord et Sud-Kivu où il contrôle de nombreuses agglomérations, dont les villes de Goma et Bukavu. Dans un nouveau rapport publié ce jeudi 2 août portant sur la situation en République démocratique du Congo, l'ONU rapporte qu'au total, 1154 violations des droits humains ont été enregistrés dans le pays au cours du dernier trimestre, dont le plus grand pourcentage est à déplorer dans les zones sous occupation.