Société

Les formulaires de demande de passeport ne sont plus disponibles depuis trois semaines au ministère des Affaires étrangères (Minaffet) à Kinshasa. Cette situation pénalise de nombreux demandeurs de passeports qui viennent de partout dans le pays et à travers le monde pour se procurer ou renouveler ce document. Au ministère, jeudi 2 octobre, les reporters de Radio Okapi n’ont trouvé aucun interlocuteur à même d’expliquer cette étonnante rupture de stocks. De nombreux demandeurs sont dans l’impossibilité de se procurer ce laissez-passer indispensable pour sortir du pays.
L’avocat du sergent major Ngabu exige de la cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu l’autopsie du corps de son client. Témoin-clé dans le procès des présumés assassins du colonel Mamadou Ndala, le sergent major Ngabu est décédé jeudi 2 octobre matin à Beni dans des circonstances non élucidées, un jour seulement après sa comparution.
Le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, a reconnu jeudi 2 octobre la mort de plus de cent ex-combattants et leurs dépendants au Centre d’entrainement Commando de Kota Koli à l’Equateur, où ils sont regroupés depuis plus d’une année. Il a en revanche rejeté les affirmations de Human Rights Watch (HRW), selon lesquelles ces personnes seraient mortes de faim suite à une “négligence criminelle” de Kinshasa.
Le juge Ngoma Tsasa du tribunal de grande instance de Bunia, en Ituri (Province Orientale) condamné en décembre 2013 pour tentative de viol d’une femme s’est évadé.
Dès son investiture le 26 février 2013, le gouvernement de la Province Orientale s’efforce, sous l’impulsion de Jean Bamanisa Saidi, de rendre fluide, à la limite de ses moyens, la circulation sur les artères de la ville de Kisangani. Aussitôt entrée en fonction, l’équipe gouvernementale s’est focalisée sur la route de l’aéroport international de Bangboka.
En dépit de tous les jugements, y compris un arrêt pertinent de la Cour Suprême de Justice, des bulldozers à l’ordre de Didi Kinuani ont détruit l’immeuble du Dr Jean Ilunga Mukendi devant le regard faussement impuissant du Parquet ! Ce n’est pas un secret.
La société Transport au Congo (Transco) est en deuil. Elle vient de perdre son directeur d’exploitation adjoint, Gaston Ongala Saïdi, décédé mardi 30 septembre 2014, à la clinique Ngaliema, à Kinshasa. Pendant sa maladie, l’illustre disparu s’était même déplacé pour l’Inde en vue de traitements plus appropriés. Malheureusement, le dstin en a décidé autrement. Dieu a donné, et a repris. Ayant appris la triste nouvelle hier mercredi 1er octobre, tous les agents de cette société de transport étaient inconsolables, particulièrement ceux du secteur d’exploitation.
Le communiqué de l’UNPC annonçant la mesure. La commission de discipline et d’Ethique professionnelle de l’Union Nationale de la presse du Congo, Tribunal des pairs des journalistes oeuvrant en RDC, informe le public, contradictoirement les plaintes lui adressées par Mme Carole Agito Amela, ADG ai de la SONAS et la SONAS contre la journaliste Barbara Yakonzoli Nzimbi de Congoweb Tv, elle suspend cette dernière d’exercice du métier journalistique pour une durée de trois mois.
Kinshasa sera désormais comptée parmi les producteurs de pommes de terre ! L’exploit industriel est signé Kitoko Foods, ferme moderne du Groupe Fleurette de Dan Gertler, située à l’est de Kinshasa non loin de l’aéroport international de N’djili. Sous la supervision de Gil Arbel, le patron de Kitoko Foods, hier mercredi 01 octobre 21014 on a assisté à une scène incroyable !Pour la toute première fois une récolte industrielle des pommes de terre a eu lieu à Kinshasa pourtant réputée comme un espace géographique inapproprié à cette culture.
L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch a accusé mercredi Kinshasa de négligence "criminelle" en reprochant aux autorités congolaises la mort d'une centaine personnes dans un camp militaire accueillant des rebelles démobilisés. "Plus de 100 personnes parmi les combattants démobilisés, leurs femmes et leurs enfants [...] sont mortes de faim et de maladie" dans le camp de Kotakoli, dans l'extrême Nord-Ouest du pays, "après que les responsables ont négligé de leur fournir la nourriture et les soins de santé appropriés", écrit HRW dans un communiqué.