Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a déclaré ce jeudi, lors de la conférence internationale de Paris sur la paix et la prospérité dans la région des Grands Lacs, que la crise humanitaire qui frappe son pays est « directement liée » aux opérations militaires du groupe armé AFC/M23, soutenu par le Rwanda.
Politique
Paris, capitale de la République Française, a abrité, ce jeudi 30 octobre, une conférence internationale consacrée à la paix et à la prospérité dans la région des Grands Lacs. À l’issue de cette rencontre, le président français Emmanuel Macron a annoncé que plus de 1,5 milliard d’euros ont été mobilisés pour répondre à la crise humanitaire qui frappe l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Le ministre togolais des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur, Robert Killian Edo Dussey, a qualifié la crise sécuritaire et humanitaire qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) d’« échec collectif de la communauté internationale ».Prenant la parole ce jeudi 30 octobre, à la Conférence ministérielle de soutien à la paix et à la prospérité dans la région des Grands Lacs, organisée à Paris, le chef de la diplomatie togolaise a dénoncé l’inaction face à la détresse croissante des populations congolaises victimes des co
Le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, sera reçu, ce jeudi 30 octobre 2025, à l’Élysée par son homologue français, Emmanuel Macron, avant de participer à la conférence de soutien à la paix et à la prospérité dans la région des Grands Lacs, prévue le même jour à Paris.L’information a été confirmée par la porte-parole du chef de l’État, Tina Salama, dans un message publié sur X (ex-Twitter), ce même jeudi.
Au cours d'une séance plénière tenue le mercredi 29 octobre 2025, les députés nationaux ont validé le rapport de la Commission Politique, Administrative et Juridique de l'Assemblée Nationale (PAJ). Lequel rapport procède à la vérification et à la validation des pouvoirs de six suppléants. Voici la liste de six suppléants dont la plénière a validé les pouvoirs comme députés nationaux :- Muzitu Khenda Randall ; - Mulolo Wamandava Behn ; - Kitenge Mayaba Papy ;- Ngoy Mwinya Éric ; - Kotongo Swebolo Cirile.
Dans un communiqué signé par le ministre de la Défense nationale, Guy Kabombo Muadiamvita, et lu, mercredi, par le porte-parole des FARDC, le général-major Sylvain Ekenge, le ministère de la Défense nationale et anciens combattants condamne une nouvelle agression du Rwanda, menée sous couvert du mouvement rebelle l'AFC/M23.Selon ce communiqué, cette offensive constitue une violation flagrante du cessez-le-feu ainsi que des différents processus de paix en cours.
Le professeur André Mbata a confirmé, lors d’un point de presse tenu ce mercredi 29 octobre, le choix de l’Union sacrée de la Nation (USN) de porter Aimé Boji Sangara à la tête du Bureau de l’Assemblée nationale.À en croire le secrétaire permanent de l’Union sacrée, l’ancien ministre du Budget et des PME est à la fois le candidat de son parti, l’UNC, et le choix officiel de la majorité présidentielle.
La tension politique monte d’un cran après le dépôt d’une motion de défiance contre le gouverneur du Kasaï-Oriental, Jean-Paul Mbwebwa Kapo. Sept (7) députés provinciaux sont à l’origine de cette initiative, qui suscite la colère de la fédération locale de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS).En réaction, des militants du parti présidentiel ont battu le pavé, ce mercredi 29 octobre, dans les rues de Mbuji-Mayi. La marche a connu deux points d’arrêt dont la Mairie et l’Assemblée provinciale.
Le Front Commun pour le Congo (FCC) exprime sa « profonde indignation » face à ce qu’il qualifie de « mesure arbitraire » du régime de Félix Tshisekedi visant à suspendre le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), l’un de ses principaux partis membres.Dans un communiqué mardi, la plateforme politique accuse le pouvoir en place d’instrumentaliser la justice et l’administration à des fins de règlement de comptes politiques.
Le gouvernement congolais a annoncé, mardi 28 octobre dernier, la suspension immédiate des activités du parti politique "Alliance des Travailleurs pour le Développement" (ATD), dirigé par l’ancien vice-premier ministre José Makila Sumanda.La mesure est contenue dans un arrêté signé par le vice-premier ministre en charge de l’Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemain Shabani.