Politique

Raymond Tshibanda, a, lors de la marche organisée par le Front Commun pour le Congo (FCC) ce jeudi à Kinshasa, dénoncé la mise en place au sommet de l'État d'une stratégie visant à annuler le régime politique actuel en République démocratique du Congo.  L'ancien ministre des affaires étrangères, qui parle de dérive dictatoriale du pour qualifier la gouvernance actuelle, a accusé le président Félix Tshisekedi de faire passer sa volonté avant les lois de la République.
Le Front Commun pour le Congo (FCC), section Lualaba n'a pas organisé ce jeudi 23 juillet 2020, la marche pour soutenir les institutions de la République, à Kolwezi (Lualaba).  Cette plateforme politique projete, cependant, de descendre dans la rue dans les tous prochains jours pour contester la conjoncture qui caractérise le quotidien des congolais actuellement. 
Le premier ministre, malgré son insistance, n'a pas été reçu le mercredi 22 juillet par le président de la République, selon une source qui a requis l'anonymat. D’après elle, Félix Tshisekedi est toujours mécontent du communiqué de presse qui a précédé la demande d’audience. C’est pourquoi, il a refusé de recevoir Sylvestre Ilunga Ilunkamba le renvoyant au conseil des ministres de ce vendredi.
La Cour Pénale Internationale (CPI) a accepté d'analyser la plainte d'un groupe d'experts canadiens contre Joseph Kabila, ancien président de la République de la RDC. Dans une correspondance adressée au Parlement canadien pour la justice internationale mardi 21 juillet dernier, le chef de l'unité des informations et des éléments de preuve du bureau du procureur de la CPI remercie ce collectif pour les renseignements leur transmis et promet de les ajouter sur sa base des données des informations sur la RDC pour analyse. 
L'inspecteur général des Finances chef de service Jules Alingete Key a, dans un communiqué daté du 23 juillet 2020, annoncé que le chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a mis fin aux désordres dans les exonérations, allègements fiscaux et compensations. Par conséquent, l'IGF informe qu'à l'issue de l'examen de la régularité et de la pertinence de ces exonérations, une liste des exonérations illégales, abusives, contrefaites ou falsifiées sera dressée. Jephté Kitsita (Ci-dessous, le communiqué de l'IGF)
À l'issue de la marche organisée ce jeudi 23 juillet 2020 à Kinshasa notamment pour soutenir les institutions du pays, le coordonnateur national du Front Commun pour le Congo (FCC), Néhémie Mwilanya a déclaré qu'ils ont démontré que leur popularité va au-delà des institutions. "Nous avons démontré que le FCC est majoritaire dans les institutions mais aussi au sein de la population", a déclaré le député national Néhémie Mwilanya.
La marche du Front Commun pour le Congo (FCC) de ce jeudi 23 juillet 2020, pour soutenir la constitution et les institutions du pays n'a pas eu lieu à Gemena, chef-lieu du Sud-Ubangi tout comme à Gbadolite, capitale de la province voisine du Nord-Ubangi.
Le coordonnateur national du Front Commun pour le Congo (FCC) a, dans une interview accordée à la presse ce jeudi 23 juillet 2020 lors de la marche de cette plateforme de gouvernement, dénoncé la violation de la constitution par certaines parties de la coalition au pouvoir. Selon Néhémie Mwilanya, la coalition est assise sur la constitution. Il souligne en outre qu'aucune partie ne peut s'arroger le pouvoir ou les prérogatives de l'autre.
La jeunesse du Front Commun pour le Congo (FCC), section Lubumbashi a finalement décidé de reporter à une date ultérieure sa marche pour soutenir les institutions de la République.  Initialement prévue ce jeudi 23 juillet 2020, cette marche n'a pas eu lieu à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga.  L'annonce a été faite à la presse la veille par Pcatrick Nyembo Songe, président de la jeunesse du FCC section Haut-Katanga.
Se confiant à la presse ce jeudi 23 juillet 2020 lors de la marche du Front Commun pour le Congo (FCC) à Kinshasa, le secrétaire permanent du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a déclaré qu'ils sont descendus dans la rue notamment contre la dictature qui commence à s'installer en RDC.