Politique

Au cours de la tournée de presse organisée ce mardi par l'Agence de Coopération Internationale du Japon (JICA) et l'ambassade du Japon, le professeur Jean-Jacques Muyembe est revenu sur la lutte contre la maladie à virus Ebola, qui décime les populations dans l'Est du pays.  À en croire le directeur général de l'Institut National de Recherches Biomédicales (INRB), le manque d'implication des communautés locales est à la base de la persistance de cette épidémie.
Le Professeur Jean-Jacques Muyembe remporte le Prix Hideyo Noguchi, pour ses multiples recherches dans la lutte contre la maladie à virus Ebola.  Au cours de la tournée de presse organisée ce mardi par l'Agence de Coopération Internationale du Japon (JICA) et l'ambassade du Japon en RDC, que l'annonce a été faite.  Directeur général de l'Institut National de Recherches Biomédicales, (INRB), le docteur Muyembe se dit fier et joyeux d'avoir  remporté ce Prix.
Marie Olive Lembe Kabila, ex première Dame de la République Démocratique du Congo a assisté les victimes des violences perpétrées dans les territoires de Djugu et Mahagi et Irumu dans la province de l’ituri. L'épouse de l'ancien président Joseph Kabila Kabange a posé ce geste par l'entremise de sa fondation.  Elle a ainsi remis des vivres et non vivres aux déplacés contraints de déménager à Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri pour se mettre à l'abri des violences.
Le secrétaire général de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo, "CENCO", répondant à une question sur la contestation des résultats de la présidentielle, a signifié qu'aujourd'hui, le pays a un président de la République.  Pour l'abbé Donatien Nshole, peu importe ce qui s'est passé, sur le plan pratique la République Démocratique du Congo n'a qu'un seul chef de l'État et pas deux. Déclaration faite lundi 24 juin dernier au cours d'un point de presse au Centre Interdiocésain  dans la commune de Gombe à Kinshasa. 
Dans un communiqué daté du 24 juin dernier et parvenu à la Rédaction de 7SUR7.CD ce mardi, le Mouvement de Libération du Congo, "MLC", regrette les incidents survenus lors du retour de son président Jean-Pierre Bemba dimanche dernier à Kinshasa.  "Le MLC regrette les incidents malheureux survenus lors de cet important événement, incidents provoqués par quelques éléments de la police et des inciviques instrumentalisés, infiltrés, encouragés par des officines occultes pour perturber la sérénité de cet accueil", a indiqué Eve Bazaiba.
Le gouvernement provincial du Haut-Katanga a été investi par l'assemblée provinciale lundi, à Lubumbashi. L'équipe du gouverneur Jacques Kyabula Katwe est composée de 10 ministres, dont 9 hommes et 1 femme. Mais dans son équipe, il y'a 10 femmes sur 25 hommes,  soit plus de 30%.  Ce qui fait de l'exécutif provincial du Haut-Katanga le plus genré. Bien avant cette investuture, le gouverneur  Kyabula a présenté son programme d'action lors de la plénière du vendredi dernier.  Ce programme est reparti en 5 axes, à savoir :
Est-ce l'épilogue de la saga politico-admnistrative qui a conduit à la suspension controversée du directeur général de la Société Congolaise des Transports et des Ports (SCTP, ex Onatra), Daniel Mukoko Samba, et de son adjoint ?  La ministre du portefeuille Wivine Mumba Matipa a instruit  la présidente du Conseil d'administration de l'ex Onatra à convoquer une assemblée générale qui va statuer sur la suspension depuis mars du directeur général de l'ex Onatra et de son adjoint.
L’invalidation des députés nationaux essentiellement de l’opposition par la Cour constitutionnelle, lors de l’examen de la procédure du contentieux des résultats, a fait couler beaucoup d’encre. Selon Maître Papis Tshimpangila, ces arrêts de la Cour Constitutionnelle sont de nature à troubler la paix et la cohésion  sociale.
Dimanche 23 juin 2019, le secrétaire exécutif de la ligue des jeunes de l'UDPS, a sensibilisé et appelé au soutien de tous pour la réussite du mandat de Félix Tshisekedi.  Il a également insisté sur l'unité et la cohésion afin de mieux se préparer aux élections de 2023. "Nous devons être unis, nous devons former un corps, accompagner le chef de l'État pour être en ordre de bataille en 2023, parce qu'en 2023 nous devons gagner les élections à tous les niveaux", a-t-il déclaré.
Certains proches de l'un des 9 juges de la Cour Constitutionnelle, en la personne de Kilomba Ngozi Mala, dénoncent un acharnement sur sa personne.  "Kilomba n’a pas géré seul les différents dossiers liés aux contentieux électoraux. Chaque décision prise a nécessité la signature de trois juges. Je suis curieux de voir tout le monde s’attaquait à lui. Ce qui se raconte frise la mauvaise foi. Pourquoi seulement lui?", s'est demandé un de ses proches qui a requis l'anonymat.