Justice

dim 28/06/2015 - 13:02
Le pays s’appuie, dans cette action, sur des instruments juridiques nationaux et internationaux qui interdisent en tous temps et en tous lieux, ces actes- considérés comme des antivaleurs les plus graves.
dim 28/06/2015 - 04:27
L’ONG de défense des droits de l’homme «Centre Pélican» affirme que 11 sur les 25 détenus de la prison de Bunia, dans le district de l’Ituri (Province Orientale), soit 44%, subissent les tortures de la part de leurs geôliers.
sam 27/06/2015 - 07:59
La torture est une pratique honteuse qui porte atteinte à la dignité humaine et qui déshumanise son auteur.
ven 26/06/2015 - 11:46
L’homme est quasiment le seul à avoir répondu, jusqu’ici, aux révélations des noms faites par l’Agence France Presse (AFP) le mercredi 24 juin, dans la soirée. Ses proches affirment entre autres que le gouverneur de l’ancienne province du Katanga serait la principale cible dans la plainte de Joseph Kabila.
ven 26/06/2015 - 11:44
Enregistrée sous le RCA 30699 à la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe, l’affaire judiciaire opposant Tshilomba à Mutamba tourne à la confusion. Pour cause, certains juges siégeant dans cette affaire ont été récusés par la partie Tshilomba. Mais la cour aurait refusé d’obtempérer à cette requête pourtant légale. Elle aurait décidé de poursuivre l’affaire sans changer des juges.
ven 26/06/2015 - 11:27
Auteur présumé de massacres de civils à Kisangani en juin 2000 Human Rights Watch suit de près le cas d’Emmanuel Karenzi Karake, chef des services de renseignement du Rwanda, qui a été arrêté à Londres le samedi 20 juin dernier, en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis à la suite d’une demande présentée par un juge espagnol. Au cas où Karenzi Karake serait extradé vers l’Espagne, où il a été inculpé par un tribunal espagnol, avec 39 autres autorités rwandaises de haut rang, pour présomption de graves crimes commis en violation du droit international, les autorités espagnoles devraient s’as
ven 26/06/2015 - 11:22
Le riche homme d’affaires du Katanga a fait savoir qu’il n’est pas encore officiellement notifié d’une plainte, mais le procédé et la méthode ne l’étonneraient pas! La plainte pour corruption ou fraude, déposée par le chef de l’Etat, Joseph Kabila, par le biais de son conseiller spécial en matière de lutte contre la corruption, Luzolo Bambi, défraie la chronique. Parmi les personnalités visées par cette plainte, le gouverneur de la province du Katanga, Moïse Katumbi chapwe, qui n’a pas attendu pour réagir, alors que la plupart des accusés continuent à garder silence. Non encore saisi offici
ven 26/06/2015 - 10:40
Il s’agit d’Antoine Mitsa Mokambou, Jean Pierre Nkounkou et André Ntsoma Nsiéné Dans un communiqué publié le 24 juin dernier à Brazzaville, la Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) a annoncé l’arrestation à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), de trois réfugiés de la République du Congo. Le communique précise que ces réfugiés congolais ont été interpellés le 20 juin dernier par la police «pour détention de cartes de réfugié périmées». .
ven 26/06/2015 - 10:37
Un sujet jusque-là tabou devient tout à coup un objet de causerie ouverte sur la place publique suit au pas franchi par Joseph Kabila en déposant une plainte en dénonciation auprès du Parquet Général de la République contre les auteurs présumés de corruption à large échelle, de détournement de deniers publics, de blanchiment de capitaux ou de transferts illégaux de fonds, d’organisation terroristes au détriment du pays, etc ! Il est indispensable aujourd’hui d’ouvrir des causeries sur ce sujet à des publics plus larges pour que la majorité du peuple suive l’évolution de l’affaire jusqu’à son
ven 26/06/2015 - 04:33
Est-ce le go de l’opération " mains propres " ? Tous les Congolais aimeraient y croire. Est- ce le début de la fin de la République des " intouchables " ? Principales victimes de la corruption quasi institutionnalisée, les Congolais d’en bas ne demanderaient pas mieux. Eux qui entonnent en chœur depuis les années Mobutu le requiem pour l’impunité. Sans succès jusqu’ici. Car, au bord du fleuve Congo, la lutte contre la prédation a la peau dure. Ce qu’au Congo-Zaïre on appelle " antivaleur " survit insolemment aux différents régimes.