Un de présumé auteurs du génocide au Rwanda, Ladislas Ntanganzwa est aux arrêts depuis le mercredi 9 décembre à Goma, au Nord-Kivu, signale le Mécanisme pour les tribunaux internationaux des Nations unies (MTP). Il sera entendu par Kinshasa avant d’être extradé au Rwanda, déclare le ministre de la justice, Alexis Tambwe Mwamba.
Justice
ven 11/12/2015 - 05:36
A l’occasion de la célébration de la Journée internationale des droits de l’homme, jeudi 10 décembre, les Nations unies, le gouvernement congolais et l’Ambassade de France en RDC ont appelé au respect et à la promotion des libertés fondamentales de l’homme.
ven 11/12/2015 - 05:32
Dans une déclaration rendue public jeudi 10 décembre, Human Rights Watch demande au gouvernement congolais de libérer tous les prisonniers politiques. Cette ONG de défense des droits de l’homme exige aussi que les autorités congolaises mettent un terme aux atteintes à la liberté de réunion pacifique et d’expression.
L’ONG est revenue sur certains faits enregistrés récemment en RDC. Elle évoque notamment les incidents survenus le 28 novembre dernier à Goma où la police a lancé des gaz lacrymogènes et tiré en l’air à balles réelles .
jeu 10/12/2015 - 09:56
Dans son adresse du 28 novembre 2015, le président de la République, annonçant la convocation du dialogue national inclusif, avait promis de faire libérer quelques prisonniers pour décrisper le climat, et leur permettre aussi de prendre part à ce forum national. Des organisations non gouvernementales des droits de l’homme avaient salué cette démarche en cette période caractérisée par des tensions de tous ordres dans l’ensemble du territoire national.
jeu 10/12/2015 - 09:16
(Kinshasa) – Le gouvernement de la République démocratique du Congo devrait commémorer la Journée internationale des droits de l’homme le 10 décembre en libérant toutes les personnes détenues pour leurs opinions politiques ou pour leur participation à des activités politiques pacifiques.
jeu 10/12/2015 - 05:34
"Si on ne combat pas ce fleau, même les élections ne produiront pas de résultats escomptés", avertit le conseiller spécial du chef de l’Etat en matière de bonne gouvernance."Lorsque nous avons une évasion évaluée entre 10 et 15 milliard USD par année et que le pays continue à disposer d’un budget de 8 milliards USD, il vaut mieux inverser la tendance pour que le fonds qui échappe au Trésor public soit moindre par rapport à celui que nous avons dans la caisse", recommande Luzolo Bambi.
jeu 10/12/2015 - 05:26
Le Conseiller spécial du Chef de l’Etat congolais pour la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et la bonne gouvernance, Luzolo Bambi, estime qu’il faut faire de la lutte contre la corruption un combat vital pour tous.
Il l’a fait savoir mercredi 9 décembre à Kinshasa à l’occasion de la célébration de la journée internationale anti-corruption.
jeu 10/12/2015 - 05:23
La ville de Kinshasa vient en tête des provinces touchées par les violations des droits de l’homme. Le rapport de l’Onu publié mardi 8 décembre a répertorié trente-trois cas de violations des droits de l’homme dans cette province.
Le Nord-Kivu avec 27 cas vient en deuxième position. Cette province est suivie du Sud-Kivu avec vingt cas et du Kasaï-Oriental avec dix-sept cas.
Le Kasaï-Occidental vient en dernière position avec onze cas.
mer 09/12/2015 - 12:51
Dans une mise au point, ce mouvement citoyen invite le Maire de Goma à lire attentivement la constitution dans ses articles 37 et 22 et les lois congolaises sur les ASBL consacrent la liberté d’association
Citant un communiqué du maire de la ville de Goma daté du 3 décembre 2015, de nombreux médias relayent depuis quelques jours la rumeur selon laquelle le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) serait désormais interdit de fonctionner, la LUCHA a fait une mise au point pour éclairer l’opinion.
mer 09/12/2015 - 11:05
L’Onu a publié un rapport accablant contre le régime de Kinshasa. Un rapport qui répertorie tous les cas de violation des droits de l’homme depuis le mois de janvier 2015 jusqu’à décembre. Les libertés d’association, de réunion, de manifestation publique sont ballonnées. Il faut ajouter à cela le musèlement de la presse et la traque des opposants. Entre janvier et septembre, le Bureau conjoint des droits de l’homme de l’Onu a documenté 143 cas de violation de droits de l’homme liés au processus électoral.