Justice

Le procès contre les membres du mouvement terroriste Alliance Fleuve Congo (AFC) touche à sa fin. Dans leurs conclusions à l'audience de ce lundi 29 juillet 2024, les avocats de la partie civile République démocratique du Congo ont exigé un milliard USD à titre de réparation des préjudices subis par le pays.

Le ministère public a pris ses réquisitoires, à l'audience de ce lundi 29 juillet 2024, dans le procès contre les membres du mouvement terroriste Alliance Fleuve Congo (AFC). L'organe de la Loi a demandé en gros à la Cour militaire de prononcer la peine de mort contre Corneille Nangis et ses complices en fuite pour crime de guerre et trahison. Le ministère public a aussi ordonné la confiscation des biens de Corneille Nangaa, de son épouse et d'autres prévenus.

Un 26ᵉ prévenu s'est ajouté dans le procès contre les membres du mouvement terroriste Alliance Fleuve Congo devant la Cour militaire de Kinshasa/Gombe. Il s'agit d'un certain colonel Vianney Kazarama, ancien porte-parole du M23, poursuivi pour crime de guerre. Dès l'ouverture de l'audience de ce lundi 29 juillet 2024, le ministère public a sollicité la jonction du dossier de ce prévenu à ceux de 25 autres prévenus en instruction au regard de la connexité des faits. Après s'être retirée, la Cour a rendu un arrêt avant dire droit dans lequel elle a ordonné la jonction.

Le procès sur la tentative du coup d'État se poursuit ce lundi 29 juillet 2024 à la prison militaire de Ndolo devant le Tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe. Les juges vont poursuivre avec l'audition des renseignants. À l'audience du vendredi 26 juillet dernier, le commissaire adjoint Mukengeshay, l'un des policiers qui ont assisté à la scène de l'attaque de la résidence de Vital Kamerhe, le 19 mai dernier, a comparu à titre de renseignant.

Malgré la dénonciation du président de la République, les mises en garde du nouveau ministre de la Justice et des récriminations des justiciables, les jours se suivent et se ressemblent au Conseil d’Etat. Aucun geste allant dans le sens d’améliorer l’administration de la justice n’y est perceptible. Bien au contraire, beaucoup de hauts magistrats y siégeant se font champions des pratiques infâmes sur fond des violations flagrantes des lois et des procédures.

Les plaidoiries dans le procès contre 25 membres du mouvement politico-militaire Alliance Fleuve Congo ( AFC) dont Corneille Nangaa commencent ce lundi 29 juillet 2024 devant la Cour militaire de Kinshasa/Gombe. Si le temps le permet, les juges de cette juridiction militaire vont aussi recevoir, au cours de cette même audience, les conclusions de la partie civile RDC, ainsi que les réquisitoires du ministère public.

Le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant Mutamba, a annoncé la libération de 421 condamnés à la prison centrale de Makala lors d'une cérémonie présidée ce samedi 27 juillet 2024. Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'une opération visant à désengorger cet établissement pénitentiaire, qui souffre d'une surpopulation alarmante. À ce sujet, plus de 1 283 prisonniers, dont beaucoup étaient incarcérés illégalement, ont recouvré la liberté depuis le 3 juillet dernier.

Le débat est clos dans l'affaire opposant le ministère public à 25 prévenus ,membres du mouvement politico-militaire Alliance Fleuve Congo ( AFC), devant la Cour militaire de Kinshasa/Gombe. La plaidoirie, le réquisitoire et les conclusions des parties sont annoncés pour l'audience du lundi 29 juillet 2024.

Le procès contre Corneille Nangaa et ses complices se poursuit devant la Cour militaire de Kinshasa/Gombe. À la deuxième audience, ce jeudi 25 juillet 2024, à la prison militaire de Ndolo, le prévenu Éric Nkuba a cité les officiels Rwandais et un fils du président Ougandais Yaweri Museveni parmi les soutiens du mouvement terroriste Alliance Fleuve Congo (AFC). 

Le procès contre Corneille Nangaa et ses complices se poursuit devant la Cour militaire de Kinshasa/Gombe. À la deuxième audience, ce jeudi 25 juillet 2024, à la prison militaire de Ndolo, le prévenu Éric Nkuba a cité les officiels Rwandais et un fils du président Ougandais Yaweri Museveni parmi les soutiens du mouvement terroriste Alliance Fleuve Congo (AFC).